• COYOTE ET LE SOLEIL

     

    COYOTE ET LE SOLEIL

     

     

    C'était au temps où il se passait sur terre des choses que nous avons peine à comprendre aujourd'hui.
    Dans ce temps-là, le pays de l'Ouest, que traverse la Sierra Nevada, était plongé dans une obscurité profonde. Le soleil n'y brillait jamais, et, parce qu'il n'y avait pas de soleil, on n'y trouvait ni fleurs, ni fruits, ni chansons, ni gaieté : tout y était triste, morne et lent.


    C'est là que vivait un grand chasseur. Il s'appelait Coyote. Entraîné par la chasse, il s'aventura un jour loin, très loin, et arriva dans une région qui lui sembla merveilleuse. Là, le soleil éclairait la terre pendant le jour, la lune brillait pendant la nuit. Il y avait des fruits et des fleurs sur les arbres, dans les buissons, et jusque sur le bord des rivières et des étangs ; les plumes des oiseaux étaient de couleurs éclatantes : bleu, jaune, rouge, Ceux-ci chantaient dès l'aube jusqu'au crépuscule, et les enfants et les femmes chantaient aussi.


    Revenu chez lui, Coyote raconta au vieux chef ce qu'il avait vu, mais le vieux chef, qui ne pouvait s'imaginer de telles chose, ne le crut pas ; aussi Coyote, dont le cerveau se trouvait de nouveau peu à peu engourdi par l'obscurité, Coyote en vint à douter lui-même de ce qui était arrivé.


    Voulant toutefois en avoir le coeur net, il décida, un beau matin, d'essayer de retourner vers ce pays enchanteur, pour s'assure que ce qu'il avait raconté de si bonne foi existait vraiment.


    Il reprit don le même chemin, traversa les montagnes, les forêts, la grande prairie. Il revit les fleurs, les fruits, les oiseaux, les enfants heureux et le soleil qui semblait présider une fête continuelle. Plus de doute. Tout cela était réel. Ce n'était ni un rêve, ni une invention.


    Revenu dans ses montagnes obscures, il raconta donc, de nouveau, son histoire.


    Il la raconta à tous ceux qui voulaient l'entendre, mais nul ne pouvait comprendre. On le croyait un peu fou et on commençait à le tourner en ridicule.


    Coyote, lui, ne pouvait oublier. Le souvenir de cette lumière brillante, de cette douce chaleur et de la gaieté devenait une obsession. Non seulement il pensait au soleil pendant le jour, mais il croyait le voir même pendant la nuit.


    N'y tenant plus il partit de nouveau, résolu à rapporter chez lui cet astre merveilleux, capable de faire de si belles chose. Pour la troisième fois, il quitta ses montagnes.


    Arrivé au bout de son voyage, il se cacha dans un buisson et, de là, pendant plusieurs jours, épia soigneusement ce qui se passait.


    Il découvrit que, pendant la nuit, le chef du village gardait le soleil chez lui. C'est d'ailleurs chez lui qu'il gardait aussi la lune.


    Un soir donc, Coyote, voyant revenir la femme du chef, se transforma en branche d'arbre bien sèche, après s'être placé au beau milieu du chemin, à quelques pas de la demeure.


    La squaw se baissa, ramassa la branche et l'emporta.


    "Voilà, pensa-t-elle, de quoi allumer mon feu."


    C'était exactement ce que souhaitait Coyote.


    Une fois dans la place, il se tint bien tranquille, mêlé au bois qui devait servir le lendemain à l'aube. Il vit entrer le chef. Celui-ci tenait à la main le soleil qu'il posa près de lui, à la place de la lune que sa femme emporta pour l'accrocher dans le ciel, comme elle le faisait chaque soir.


    Tout était tranquille. Bientôt le chef, fatigué par une journée de chasse, s'endormit. Sa femme rentra, se coucha à côté de lui et s'endormit à son tour.


    Lorsqu'il fut certain que tous deux étaient plongés dans un profond sommeil et ne pouvaient pas l'entendre, Coyote reprit sa forme primitive, saisit le soleil, sortit de la hutte le plus doucement possible et, une fois dehors, se sauva à toutes jambes.


    Malgré ces précautions, il avait dû faire un peu de bruit en partant, car le chef se réveilla. Il s'aperçut immédiatement du vol, sortit en hâte, appela ses hommes, qui tous se mirent à la poursuite du voleur. Mais Coyote courait si vite que l'on finit par perdre sa trace.


    Revenu dans ses montagnes, il montra le soleil à ses amis et au chef de la tribu. Ni celui-ci, ni aucun autre d'ailleurs, n'avait jamais rien vu de semblable. Le chef toucha du pied la boule éblouissante et demanda :
    - A quoi cela peut-il servir ?


    - Cela va servir à nous donner de la chaleur et de la lumière, répondit Coyote. Nous allons le faire marcher haut dans le ciel, afin que toute la terre puisse en profiter.


    Et Coyote monta sur la plus haute des montagnes. Il lança le soleil au-dessus des nuages et lui ordonna de traverser le soleil de l'Est à l'Ouest pendant le jour.


    C'est depuis ce temps-là que le soleil nous prodigue à tous ses rayons, sa chaleur et sa lumière.


     

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  • Carlos Nakai, né le 16 avril 1946 en Arizona,
un très grand musicien Navajo,
auteur et interprète de ses oeuvres(et d’autres)à la flute.

    
Au son doux, modulé de la flute indienne,
il vous suffit de fermer les yeux pour vous retrouver…


    La voix qui magnifie la Terre


    La voix venue d’en haut


    La voix du tonnerre


    Dans les nuages sombres

    
Encore et encore, elle roule


    Cette voix qui magnifie la Terre


    La voix qui magnifie la Terre

    
La voix venue d’en bas


    La voix de la sauterelle

    
Parmi les plantes

    
Elle roule encore et encore


    La voix qui magnifie la Terre


    (Chant sacré Navajo)

     

     


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  • LOI DE VIE DES OJIBWA

     

     

    Loi de vie des Ojibwa




    Sur le chemin de l’école que nous parcourons, chaque jour

    
Des enfants indiens avaient l’habitude de courir et de jouer

    
C’était leur terre, devenue notre terre pour toujours

    
Là où les maisons et les magasins ont tout remplacé


    Avant cela, les arbres étaient très grands


    Et il n’y avait pas de voitures ou de rues

     

    
Pas d’église ou de clocher dépassant


    Seulement des forêts à perte de vue


    Que des tentes, des wigwams sur le sol


    Et, la nuit, les grognements et les cris des animaux


    Tout cela a bien changé autour de notre école

    
Aujourd’hui les moteurs ont remplacé les clapotis de l’eau


    Traduction du poème de Annette Wynnees

     

     

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  • LE PEUPLE DES OJIBWAS

     

    Il  y a bien longtemps de ça

    
L’homme et le loup parcouraient ensemble cette terre

    
En respectant toutes les formes de vie


    Ils étaient en harmonie avec le plan de notre Créateur



    
Les êtres humains qui vivaient là alors s’appelaient Ojibwa


    
Cela signifiait « la maison du pic vert »

    
Ils apprenaient beaucoup de choses à leurs enfants

    
Ils faisaient offrande de nourriture et de tabac au Grand Esprit



    
Quand la vie d’un animal devait être prise

    
Chaque élément de son corps était utilisé


    Les Ojibwas avaient énormément de respect pour la sagesse des anciens

    
Tout être vivant dans les lacs ou dans les forêts n’était jamais maltraité



    
Les grands lacs leur apportaient les poissons dont ils avaient besoin
A l’automne ils chassaient le gibier et

    récoltaient le riz sauvage
Au printemps ils récoltaient la sève des érables pour en faire un sirop


    En été, ils cueillaient les fraises et les myrtilles sauvages
Et construisaient leurs solides canoës avec du bois de bouleau


    Cette vie simple, en accord avec la nature, les rendait joyeux
Ils prenaient à la nature seulement ce dont ils

    avaient besoin
Ils savaient qu’aucun humain ne peut posséder la terre


    
Ils se contentaient de suivre la loi de vie du Créateur
Jusqu’à ce que leur mode de vie fut bouleversé par

    l’homme moderne


    
Alors de façon inhumaine et cruelle, au milieu du XIX° siècle
Le gouvernement US a commencé par

    confisquer leur forêt et leur terre

    
Pour ensuite les confiner dans de petites réserves


    En leur supprimant leurs droits de chasse et de récolte

    
Leur mode de vie ancestral était fini, une vie qu’ils considéraient merveilleuse


    
Et leur frère le loup, qui avait accompagné autrefois leurs ancêtres sur cette terre


    Fut lui aussi chassé et pratiquement exterminés dans ces bois


    Il semble que l’humanité continue de profaner et de détruire la nature


    
En ne prenant jamais le temps de penser à l’ordre naturel ou aux bienfaits naturels


    Quand je me promène aujourd’hui dans cette région de grands lacs

    
En particulier lorsque je me lève en regardant fixement les flammes de mon feu

    
Je peux encore les voir et les entendre, vivant dans le bonheur ici

    
Et apprendre leur philosophie de la vie est mon plus cher désir


    Je ne suis qu’un étudiant de la culture amérindienne

    
Mais je pense que c’est notre responsabilité de sauvegarder notre terre

    
Les générations futures risquent, sinon, de connaître très peu de choses

    
Du plan naturel très ancien mais merveilleux de notre Créateur


    Traduction du Texte de Mr ED

     

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  • CHIEF EAGLE FEATHER

    Il y a très longtemps, alors que les guerriers Cheyennes ne savaient pas encore comment utiliser les plumes d’aigle pour leurs tenues de guerre, l’un d’entre eux grimpa tout en haut d’une montagne en espérant qu’un être supérieur lui apprenne comment faire quelque chose de grand pour son peuple.


    Après plusieurs jours sans nourriture, il fut tout heureux d’entendre une voix lui dire :


    « Essaye d’être brave en toutes occasions même si cela peut causer ta mort. Si tu te souviens de ces mots, tu aideras fortement ton peuple ».


    Après avoir entendu cette voix, sept grands aigles arrivèrent comme s’ils voulaient l’emporter.


    Un grand aigle lui dit :


    « Regarde moi, je suis puissant et j’ai des ailes magnifiques, je suis le plus grand des oiseaux ».
    Il montra ensuite à l’homme ses ailes et sa queue et les étira aussi largement que possible et lui expliqua comment réaliser des habits de guerre à partir de plumes d’aigle.


    « Les guerriers de ton peuple doivent uniquement utiliser des plumes d’aigle et ils obtiendront des victoires »

    dit l’aigle et alors, sept aigles se mirent à secouer leur plumage et de nombreuses plumes tombèrent sur le sol.

    Le guerrier Cheyenne les ramassa en remerciant les oiseaux et retourna dans sa tribu.


    Depuis cette date, les Cheyennes portent des plumes d’aigle et le guerrier qui les avaient ramenées est devenu un chef appelé « Chief Eagle Feather » chef plume d’aigle, conduisant son peuple avec dignité et fierté.

     

     

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  • CHANT CHEYENNE

    Chant Cheyenne

    Ce chant de guerre qui monte sur la ville
    comme une prière a la lune qui brille
    rappelle a ceux qui dorment derrière les grilles
    qu'on peut toujours même si c'est pas facile
    devenir Cheyenne combattre quand même



    Devenir Cheyenne regagner les plaines
    je veux te prendre au feu de mes tortures



    Je veux te faire comprendre tout ce que j'endure



    Je veux t'apprendre les signes,les peintures qui protègent mieux que toutes les armures



    Devenir Cheyenne regagner les plaines
    tu peux aussi quand la vie te malmène
    pousser le cri et devenir Cheyenne



    Oublie les plumes , oublie les mocassins
    pas besoin de costume pour devenir indien
    devenir Cheyenne combattre quand même


    Devenir Cheyenne regagner les plaines
    combattre quand même et briser ses chaines

    Devenir Cheyenne

     

     

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  • LE PETIT ÉCUREUIL VALEUREUX

     

    LE PETIT ÉCUREUIL VALEUREUX

    Le petit écureuil valeureux

     

    LE PETIT ÉCUREUIL VALEUREUX

    Il y a très longtemps où les hommes et les animaux vivaient en harmonie, ils pouvaient et même parler ensemble. Grand Esprit veillait à la paix de ce monde.


    Grande ourse avait un terrible défaut, elle était gourmande et goûtait à tout.
    Un jour, elle a attrapé un petit indien et l'a avalé tout rond. Elle l'a trouvé si délicieux qu'elle s'est mise à rechercher les petits indiens, telle une confiserie et en croqua ainsi plusieurs.


    Les Indiens étaient désespérés et se précipitèrent chez Grand Esprit afin qu'il fit cesser le massacre. Il convoqua immédiatement Grande Ourse et lui fit la morale.


    Toute penaude la Grande Ourse repartit dans la forêt mais sa gourmandise prit de nouveau le contrôle de ses gestes et se remit à dévorer les petits des Indiens.


    Grand Esprit était hors de lui que Grande Ourse lui ait désobéi et décida de la transformer en petit écureuil. Grande Ourse ne pourra plus manger de petits indiens car on sait que les écureuils mangent des noisettes et des glands et vit dans les arbres !


    Petit à petit, Les rapports de Grande Ourse avec les êtres de la forêt évoluèrent et elle se mit à avoir même quelques Indiens dans le cercle d'amis !


    Il se produisit, l'hiver suivant une grande catastrophe, le printemps ne venait pas car les oiseaux, les fauvettes n'étaient pas venues l'annoncer de leurs chants mélodieux.


    Grande Ourse qui voulait se racheter de ses fautes du passé partit à leur recherche dans la forêt.
    Après avoir marché des jours et des jours, elle crut entendre quelques gazouillis venant du sol.
    Elle se rapprocha prudemment et découvrit un énorme trou dans lequel les fauvettes étaient retenues prisonnières par un méchant sorcier et un grand ours blanc.


    Elles étaient attachées par les pattes à la paroi grâce aux petites racines de mélèze.
    Grande Ourse se dit qu'elle devait absolument sauver les oiseaux mais sous la forme d'un écureuil, elle avait beaucoup moins de force ! Heureusement, elle avait conservé sa grosse voix, et, alors que le sorcier s'était absenté, elle s'adresse au grand ours blanc : " Bonjour cousin ! ".


    Le grand ours blanc regarda de tous les côtés, mais ne vit personne car Grande Ourse était
    cachée !


    Il crut d'abord ne rien avoir entendu mais elle répéta son bonjour.
    Grand ours blanc se dit qu'il était incapable de la repérer.

    Grande Ourse lui dit alors :
    " Tu as des soucis aux yeux cousin, ferme-les et je vais te mettre une pommade dont tu me diras des nouvelles ".


    Grand ours blanc s'exécuta et petit écureuil lui colla les yeux avec de la résine si forte qu'il n'arrivait plus à ouvrir un œil. Elle put ainsi aller délivrer toutes les fauvettes qui s'élancèrent dans le ciel en chantant afin de remercier le courage de la grande Ourse.



    Mais le méchant sorcier était de retour...Grande ourse s'échappa à toutes jambes, mais se sont de toutes petites jambes pour un écureuil ! Il décolla en un rien de temps les yeux de Grand ours blanc et tous deux s'élancèrent à sa poursuite.


    Elle fila vers le nord mais ils étaient toujours à ses trousses. Elle eu beau sauter encore et encore plus loin, elle sentait qu'ils se rapprocha dangereusement...


    Elle grimpa donc dans un sapin à toute allure et sauta dans le ciel. Grand ours blanc la suivit et le sorcier banda son arc et décrocha une flèche qui transperça le bout de la queue de petit écureuil et alla se planter dans la voûte céleste.

    Toutes les nuits vous pouvez encore observer cette course poursuite : Petit écureuil tourne en rond autour de la flèche qui immobilise le bout de sa queue ( l'Étoile Polaire ) et Grand ours blanc qui ne cesse de la poursuive.

    Petit Écureuil est représenté par la constellation de la petite Ourse et Grand ours blanc représente celle de la Grande ourse.

     

    LE PETIT ÉCUREUIL VALEUREUX

     

    LE PETIT ÉCUREUIL VALEUREUX



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  • La Louve

    La Louve


    Sa robe blanche de neige aux flocons diamants,
    Ce regard perçant qui plonge au fond de l'âme,
    Pour percevoir le mal d'un égard infâme,
    Devenue méfiante de ces humains menaçants,


    Elle devient invisible pour tous ceux qui la blâme,
    Fuyant non de peur mais de rage silencieuse,
    Telle une flèche de ses griffes audacieuses,
    Déchirent sa proie aussi vif qu'un fouet de lame,


    C'est une chienne de lune au grand cœur ouvert,
    Protectrice farouche de ceux qu'elle porte en amour,
    Fidèle à son clan guerrière du long parcours,
    Aux sens éveillés, fait appel à l'univers...


    Sous les étoiles, son hurlement rejoint le Loup Céleste,
    Maître du savoir, Éclaireur vers la source de sagesse,
    Protégée de sa fourrure duvet de tendresse,


    OH ! Grand Esprit ! que les Ancêtres se manifestent...

    LA LOUVE

     

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    ABSENTE POUR QUELQUES JOURS, VOUS RETROUVE DÈS MON RETOUR


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  • LA COMPLAINTE DU COEUR

     

    LA COMPLAINTE DU COEUR

    La complainte du Cœur

    Elle a tellement d'histoires à raconter,
    Tant de blessures ouvertes à cicatriser,
    Son chant n'est que goût amer de passés,
    Telle une mélodie de larmes trop salées,

    Cette complainte n'est qu'un cri du cœur,
    De ce mal cruel rongeant de l'intérieur,
    Donnant espoir de ressentir le printemps,
    Que brûle les flammes des feux de Satan,

    Sa peine pour le fardeau des humains,
    Qu'elle transporte aux creux de sa main,
    Tel un ange lyrique descendu des cieux,
    Aux paroles d'Amour soufflées des dieux,

    Sa chanson n'est que message de beauté,
    Pour qui veux enfin vivre dans la vérité,
    Que les sentiments naissants de la noirceur,
    Mourront au contact de la pureté du cœur,

    Qu'il suffise de croire de l'âme au tréfonds,
    Que la mémoire traverse de ce pas le grand pont...

     

    LA COMPLAINTE DU COEUR


     

     

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    je serait  absente  pour   plusieurs  jours

      je  vous retrouve  des mon retour  

     


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