• LE BLESSINGWAY CHEZ LES AMÉRINDIENS

    Le Blessing Way est une tradition des indiens Navajos (Indiens d’Amérique du Nord souvent apparentés aux Apaches), afin de célébrer la future mère. C’est une fête organisée par des femmes, entre femmes, dans le septième mois de la grossesse.

    Les Navajos ont un dicton, « tout ce qui arrive ici sur Terre doit d’abord être rêvé », et c’est exactement ce que fait un Blessing Way.C’est une cérémonie (ou un « rêve ») qui est un prélude à un événement de vie majeur.

    Ce rituel de transition et de protection sert donc à célébrer la femme dans chaque transformation majeure de sa vie (puberté, mariage, grossesse, ménopause, etc.).

    Ici est donc célébré son devenir mère.

     

    LE BLESSINGWAY CHEZ LES AMÉRINDIENS


    C’est un rituel qui ne doit pas être confondu avec les Baby-Shower que l’on voit aux Etats-Unis ! Il n’a pas pour but d’offrir des cadeaux, mais de rassembler durant quelques heures auprès de la femme enceinte ses amies, sœurs, mères, cousines, ect…

    La future mère choisit donc celles qu’elle désire avoir près d’elle pour cette célébration.

    Parfois, c’est une fête surprise, même si cela reste un vrai plaisir pour la future mère de participer à la préparation de ce rituel.

    Tout est fait autour et pour elle. Mais bien souvent les femmes présentes sont touchées et émerveillées de la transmission qui se met en place, dans l’amour et la bienveillance.

    Ce rituel est celui de la femme et ainsi, elle peut choisir ce qui lui correspond :

    –                         La création d’une atmosphère « spirituelle » où se retrouveront les 4 éléments Terre – Feu – Eau et Air, mais aussi fleurs, bougies, plumes, musiques relaxantes, encens, etc. ayant pour objectif la purification et la protection des lieux.

    –                         L’interprétation de chants, ou la lecture de poèmes ou de pensées rédigées par les participantes.

    –                         La confection par les invitées d’une couronne de fleurs pour la future maman.

    –                         La confection d’un collier dit « de grossesse », fait de perles que chaque invitée aura apportées. Ces perles (de 1 à 3 par personnes) ont une signification propre : avant de l’offrir, chacune garde sa perle une minute au creux de sa main y plaçant un vœu pour la future mère ou le bébé, des énergies positives, une prière ou simplement de l’amour.
    La future mère porte généralement son collier le jour de l’accouchement et lors des moments difficiles de sa vie de mère, lui remémorant ainsi la force et les vœux transmis par toutes ses amies.

    –                         La célébration du ventre sous forme de massage, de peintures ou de dessin, la confection d’un Bellycast (empreinte du ventre à l’aide de bandes de plâtre), etc.

    –                         La confection de bracelets tissés qui seront distribués à chaque invitée. Ce lien symbolise le cercle de femmes qui a été créé. Cela renforcera leur présence aussi bien spirituelle que physique avant et après l’accouchement. Le bracelet sera coupé le jour de la naissance.

    –                         La réalisation de soins par les participantes : brossage des cheveux, bains de pieds dans un bain de fleur, massages des pieds et des mains, etc.

    –                         Le récit d’histoires de femmes sur le même principe que les tentes rouges (groupes de paroles de femmes dans une ambiance intimiste), récits de naissances vécues, imaginées ou rêvées, des expériences de chacune, etc.

    –                     Le partage de douceurs (gâteaux, tartes, biscuits, etc.) apportées par les participantes, confectionnées sur place ou offertes par la future mère. C’est en général à ce moment-là que les hommes et les enfants rejoignent le groupe de femmes.

    Gardons à l’esprit que les rituels choisis importent peu car dans tous les cas, ce qui compte, c’est de célébrer la femme sur son chemin de naissance, son devenir mère, dans toute sa plénitude et sa force de femme, en lui offrant soutien et empathie et en l’inscrivant dans la lignée de ce cercle de femmes, puissantes, qui portent le monde en elles en donnant la vie.
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    LE TROC CHEZ LES AMERINDIENS

     

    Les débuts de la traite des fourrures au 16ème siècle
    Lors du xvie siècle, les Français débarquent en Amérique. Une fois sur les côtes, ils y trouvent plusieurs tribus autochtones algonquiennes. Ceux-ci vivent de chasse, de pêche ainsi que de la trappe. Les Français commencent à établir un réseau d'échanges avec les autochtones vivants sur ces lieux. L'activité qui solidifie la fondation et la suivie de la Nouvelle-France et assurément la traite des fourrures. Ce système était basé sur le troc impliquant les peuples autochtones et les colonisateurs plutôt que sur une économie monétaire. Les Français obtiennaient des peaux et des fourrures contre des objets d'utilisées courante tel que des miroirs, des outils, de l'alcool, etc. En effet, les fourrures, qui sont faciles à obtenir pour les Algonquins, ne sont pas aussi aisées à obtenir pour les Français. Les Algonquins pensaient berner les Français en leur remettant de vieilles fourrures qu'ils disaient de qualités communes à leurs yeux

     

     

    LE TROC CHEZ LES AMERINDIENS

    Les tribus autochtones convoitent des étoffes et des bijoux, des chaudières, des couteaux et des haches. D'ailleurs, les haches représentent tout un progrès sur leurs instruments de pierre. Très vite, les outils de pierre sont remplacés par le fer.

     

     

    LE TROC CHEZ LES AMERINDIENS

     

    Le commerce des fourrures s'exerce par le moyen du troc. Les Autochtones échangent les fourrures contre des biens et produits européens. Au début, ils ne sont pas très exigeants. Tout est nouveau et tout les fascine : on a souvent évoqué l'image de quantités impressionnantes de peaux échangées contre des bouts de miroir et quelques couvertures. Mais les Autochtones ne tardent pas à reconnaître ce qui leur est le plus utile et deviennent plus exigeants. À part les couvertures et les miroirs, il faut aussi leur fournir des chaudières, des aiguilles, des ciseaux, des outils, ustensiles et autres objets en métal, des vêtements, du tissu, des chandelles, etc. Dans le jeu complexe des alliances qui se font et se défont entre les Européens et les tribus autochtones, les Français en viennent à échanger également des armes contre les fourrures, dans le but d'amener certaines tribus à les assister dans les différents conflits armés qui les opposent aux Anglais et à leurs propres alliés autochtones. Très souvent, l'eau-de-vie (alcool) s'ajoute également à la longue liste de produits que les Autochtones demandent en échange des fourrures. La question de l'eau-de-vie et de son usage par les Autochtones a suscité beaucoup de débats au cours du Régime français, et même après. Officiellement, le trafic de l'eau-de-vie est généralement interdit mais en réalité, il est fort répandu. Aux dires de nombreux observateurs, il cause beaucoup de tort car les Autochtones se soûlent et commettent des actes de violence. Les coureurs de bois sont souvent accusés des mêmes méfaits.

     

     

     

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    Il y a des centaines d’années de cela, vivait une jeune fille qui brodait à merveille. Aucune femme, dans aucune autre tribu, n’avait son talent. Elle savait arranger les piquants de porc-épic en motifs colorés et décorait aussi bien un vêtement ou un sac, qu’un carquois ou même un tipi. Un jour, elle commença un ensemble de daim blanc pour homme : tunique de guerre, guêtres, mocassins, gantelets, un costume complet. Elle mit des semaines à broder de piquants chacune des pièces et à border le tout de franges en poils de bison d’un effet superbe. Or elle habitait chez ses parents et sa mère s’étonna fort. La jeune fille n‘avait pas de frères, ni de soupirant : pourquoi alors confectionner un costume d’homme ? Comme si la chose n’était pas déjà assez étrange, voilà qu’elle se mit, à peine achevé le premier costume, à en attaquer un second, puis un troisième. Elle travailla une année entière à tailler et broder sept tenues d’hommes, dont une, en dernier, toute petite. La mère l’observait toujours, perplexe. Enfin, quand la jeune fille eut fini son septième costume, elle dit à sa mère : « Quelque part, à de longs jours de marche d’ici, habitent sept frères. Un jour le monde entier les admirera. Puisque je suis fille unique, je veux les prendre pour frères et c’est pour eux que j’ai fait ces habits. »
     

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  • UNE HISTOIRE D'AMOUR SELON LA TRADITION SIOUX

    Une histoire amérindienne: Ailes d’Amour – (selon la tradition Sioux)

    Un jour, Taureau Courageux, le jeune guerrier le plus vaillant et le plus honorable de la tribu, et Nuage Bleu, la fille du chef et une des plus belles femmes de la tribu, s’en allèrent main dans la main vers le tipi du vieil homme médecine.

    “Nous nous aimons…” commença le jeune homme “Et nous sommes sur le point de nous marier” ajouta Nuage Bleu. “Nous nous aimons tant que nous sommes effrayés. Nous aimerions une formule magique, une incantation, ou un talisman… quelque chose qui nous protégera, qui nous garantira d’être toujours ensemble… qui nous assurera d’être ensemble jusqu’à la mort. S’il vous plaît, “répétèrent-ils, “Y a-t-il quelque chose que nous pourrions faire?”

    Le vieil homme les regarda et fut touché de les voir si jeunes, si amoureux, attendant son conseil en retenant leur souffle.

    “Il y a quelque chose…” dit le vieil homme, “Mais je ne sais pas si… Voyez-vous, c’est une tâche très difficile et qui demande un grand sacrifice.”

    “Nuage Bleu,” continua l’homme médecine, “vois-tu la montagne au nord de notre village? Tu devras l’escalader seule et sans autres armes qu’un filet et tes mains. Tu devras chasser le plus beau et le plus vigoureux des faucons de la montagne. Si tu l’attrapes, tu devras le rapporter ici vivant le troisième jour après la pleine lune. Compris?”

    “Et toi Taureau Courageux,” poursuivit l’homme médecine, “tu devras escalader la Montagne du Tonnerre. Quand tu seras au sommet, tu devras capturer le plus courageux des aigles à l’aide de tes seules mains et d’un filet, sans le blesser. Tu me l’apporteras vivant le même jour que Nuage Bleu reviendra. Maintenant allez!”

    Les jeunes gens s’embrassèrent tendrement et se séparèrent, elle vers le nord, lui vers le sud, pour accomplir la mission qui leur était confiée.

    Le jour voulu, les deux jeunes se retrouvèrent en face du tipi de l’homme médecine, tenant les sacs qui contenaient les oiseaux recommandés. Le vieil homme leur demanda de sortir les oiseaux de leur sac. C’étaient vraiment de magnifiques spécimens…

    “Et maintenant que faisons-nous?” demanda le jeune homme. “Les tuons-nous pour boire leur honorable sang?”

    “Non” dit le vieil homme.

    “Les cuisons-nous pour manger leur précieuse viande?” demanda la jeune femme.

    “Non” répéta le vieil homme. “Faites comme je dis: sortez les oiseaux et attachez-les l’un à l’autre par les pattes avec ces lanières de cuir. Une fois que vous les aurez attachés, libérez-les pour qu’ils puissent voler.”

    Le guerrier et la jeune femme s’exécutèrent et relâchèrent les oiseaux. L’aigle et le faucon essayèrent de s’envoler mais retombèrent rapidement sur le sol.

    Après plusieurs tentatives, irrités par leur incapacité de voler, les oiseaux commencèrent à s’attaquer en se donnant des coups de bec, se blessant l’un l’autre de manière insensée…

    “Ceci est l’incantation que vous avez demandée,” dit l’homme médecine. “N’oubliez jamais ce que vous avez vu. Vous êtes comme l’aigle et le faucon. Si vous vous attachez l’un l’autre, même si c’est par amour, non seulement vous vivrez une vie servile, mais tôt ou tard vous commencerez à vous faire du mal. Si vous voulez que l’amour dure entre vous, volez ensemble… mais ne soyez jamais attachés.”
    « Bear Nation

     

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  • MESSAGE DES INDIENS D'AMÉRIQUE AU MONDE OCCIDENTAL

     

    "L'homme blanc prétend que nous sommes belliqueux, alors que nous sommes pacifiques. Il nous traite de sauvages, mais c'est lui qui est sauvage. Regardez cette coiffure de plumes d'aigle, il appelle cela un bonnet de guerre. Bien sûr, nous l'utilisions autrefois pour la guerre, mais la plupart du temps, nous l'arborions pendant les cérémonies rituelles, et pas pour aller au combat. Chaque plume représente une bonne action, et ma coiffure en compte trente six. Elles n'appellent pas à la guerre, elles montrent seulement qui nous sommes.

     


    De même, l'Homme Blanc appelle nos chants des chants de guerre, mais il s'agit en fait de prières que nous adressons à Dieu. Il dit aussi à tort que nos tambours sont des tambours de guerre, alors qu'ils nous servent uniquement à communiquer avec Dieu. Parler de "tambours de guerre" n'a aucun sens pour nous.
    Quand il observe comment nos guerriers se peignent le visage, il y voit encore des peintures de guerre. En réalité, ils ne se peignent pas pour se battre, mais pour permettre a Dieu de distinguer clairement leurs visages s'ils sont appelés à mourir. Comment, dans ces conditions, pouvons nous parler de paix à l'Homme Blanc, quand il ne voit partout que la guerre ?"


    Matthiew "Noble Red Man" King (Oglala)
     

     

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  • LA MORT ET LES RITES FUNÉRAIRES CHEZ LES AMÉRINDIENS

     

    Les pratiques en matière des funérailles et de deuil varient selon les différentes nations et selon chaque famille.

    Les croyances relatives au passage de ce monde dans l'autre variaient selon les tribus, mais la plupart des Indiens croyaient qu'un homme avait au moins deux âmes : l'une était libre de toute attache et pouvait quitter le corps durant le sommeil et la maladie, l'autre était chevillé au corps.
    La première gagnait immédiatement le monde des esprits après la mort. La seconde subissait le même sort que le corps périssable ou, du moins, restait attachée à lui pendant un certain temps.

    « La mort chez les indiens Navajos et autres clans »
    Rencontre avec Carole Antoine qui a vécu entre 1963 et 1974 chez les Navajos, les Hopis et les Cheyennes.
    Pour les Navajos, la mort est une renaissance, une vie après la vie. Toutes formes de vie a une « âme » (plantes, animaux, pierres …).
    Par exemple, lorsqu’un Navajo veut abattre un arbre, ce dernier fait une prière pour « dire » à l’arbre que ce n’est pas par méchanceté qu’il l’abat mais qu’il s’agit d’une nécessité.

     

     

    LA MORT ET LES RITES FUNÉRAIRES CHEZ LES AMÉRINDIENS

     

    Lors d’un décès les Navajos pratiquent ce que l’on appelle le rite initiatique. Le rite initiatique est le jeûne total qui dure 3 à 4 jours durant lesquels la solitude absolue est de mise… Pendant ces jours tous ont des visions de leur vie antérieure, présente et future. Pendant ces jours de « méditation », les réserves sont fermées à tous les étrangers.
    Pour les Navajos, la mort n’est pas ressentie comme une peine au contraire, pour eux cet événement qui nous attriste tant nous autres européens est un moment de fête ».
    Dans un couple avec enfants, lorsqu’un des parents vient à mourir, l’éducation des enfants est assurée non seulement par le parent restant mais aussi par le reste de la famille voire par le clan entier.
    Chez les indiens Montain Stonies, la mort se dit : « Du-wah-otch ».

     

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  • HERBES PLANTES CHEZ LES AMÉRINDIENS

    Les amérindiens utilisent énormément les herbes ou les plantes pour se purifier et dans leurs prières. Ils pensent que de cette façon leurs remerciements seront guidés vers le grand esprit par la fumée provoquée lorsqu’ils brûlent l’herbe ou les plantes, les plus fréquemment utilisées sont la sauge et  le cèdre.
     
     
    Voici quelques significations :
     
    Cèdre : Symbolise l’équilibre. Sert a soigner les infections très variété et éloigne les mauvaises rêves. Il est surtout utilisés lors de cérémonie ou la pureté, l’harmonie et la sérénité  est essentielle et le cèdre apport c’est trois symboles.
     
    Érable : L’arbre symbolise la générosité du cœur. Il est utilisé pour mettre une ambiance chaleureuse et purifier les éléments indésirables et nocifs de l’air lors de rencontre et événement heureux.
     
    Foin d'odeur : Est appelé aussi les cheveux de la terre mère, c’est une plante féminine. Elle invite les énergies bénéfiques et favorise les ambiances agréables. Mais elle est aussi très bénéfique pour les hommes car elle incite l’ouverture et la réception de l’esprit a des ondes positives.
     
    Pin : Utilisé pour soigner diverses affections liées a l’éléments de l’air (affections pulmonaire, laryngites, asthmes etc..). Elle stimule la joie, l’enthousiasme. Elle favorise aussi l’inspiration dans le travail, dans la création et créer une ambiance saines pour toutes sortes d’activités. Son odeur évoque les grands espaces.
     
    Romarin : Symbolise la pureté et la force. Les huiles essentielles du romain, son utilisées pour nettoyés les objets devant être utilisé par les aimes et les hommes et les femmes médecine. Il a aussi des effets bénéfiques sur la peau et les cheveux. Sert aussi à mettre une ambiance propice aux activités thérapeutiques.
     
    Sauge : Plantes très importante pour les amérindien elle les accompagnes dans beaucoup de rituels. Ils l’utilisaient pour purger l’ambiance les êtres les objets. Elle transforme les énergies négatives en énergies positives. Elle peut aussi servir pour accueillir le nouveau jour.
     
    Sapin : Utilise pour soigner divers affections liées a l’élément de la TERRE (cicatrisation des plaies ; élimination du mucus du corps). Le sapin est une plante antiseptique et bactéricide. L’odeur provoque un sentiment de bonheur tranquille. Permet de créer une ambiance naturelle comme celle rencontrée dans les forets canadiennes.

    Chèvrefeuille : Utilisé pour soigné pour diverses  affections liées a l’élément de l’EAU (rhume, engorgement du foie, de la rate etc.). Son odeur très rassurante  permet de créer une ambiance qui favorise la détente des émotions. L’arôme sucré  suscite le bonheur, la sécurité et l’amour lors de rencontre familiale et communautaire.

     

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  • RETOUR D'UNE ESCAPADE DANS LES PYRÉNÉES

     

     


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